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Pourratures

10 décembre 2007

Je m'arrache. Je vais plus loin. Je paye. Pour

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Je m'arrache. Je vais plus loin. Je paye. Pour être

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5 décembre 2007

Do I want some tea ? No thanks. I mean deux

All_about_us


Do I want some tea ? No thanks. I mean deux tasses sans philtres. Your pleasure.

4 décembre 2007

Où sont les frites ? Où sont les chicken mc

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Où sont les frites ? Où sont les chicken mc nuggets ? Où est mon Big Mac ? Rapportez moi des pommes de terres en forme de Monsieur Sourire, celles de la cantine du lycée au moment d'Halloween. Donnez moi un Mc Flurry aux Kit Kat Ball, donnez moi des Pim's au chocolat et à l'orange. Je veux de la soupe de la maman de Microbe.

Je suis l'enfant nourri gâté, pourri raté. Je mange comme quatre parce que l'expression ne dit pas manger comme vingt. Je bois jusqu'à ce qu'il n'y ai plus rien dans le bocal. Je suis le poisson rouge que l'on fait crever en lui servant encore et toujours à manger.

Je fais la paix à la vanille et l'amour au chocolat. Ca paraît cliché ? Ta gueule. Je suis le frigo rempli de légumes frais de Jack. Je suis les clémentines dans le panier de Noaime. J'entends la libération du gaz quand on ouvre la canette de Coca. Faites pleuvoir les pizzas végétariennes, les pizzas garnies d'carne. Faites rôtir la peau du poulet, donnez moi le gris, gardez le blanc.

Les rugissement d'un régime prématuré. Bouges toi le cul Loubard, ne deviens pas gros. Manges comme bon te semble mais lève toi et marche. Répondit l'apôtre. C'est un plaisir de mourrir à mes cotés. C'est un plaisir d'avoir vécu à mes cotés. Je suis l'ulcère acerbe de Jack. Je veux des yaourts natures sans sucre parce que finalement c'est bon.

C'est Noël, je t'emmerde. Cette fois ci je te défies ! C'est Noël, cette année, je décide de ne pas pleurer. C'est Noël et je t'emmerde. Je suis le Père Noël, à coté la Mère Noaime. Oui. On mangera des macarons au tiramisu et même au chocolat. On s'étouffera avec en regardant des DVD. Et voir aucun film en entier ? Ca va de soi. Un jour j'irai là bas. Je raccroche le téléphone. Je change de disque. Il est 21h05. A vous les frigos.

3 décembre 2007

Et si un jour moi aussi je me mettais à entendre

Et si un jour moi aussi je me mettais à entendre la narration de ma propre vie ? Je m'en fous. Qu'on me le dise, je m'en fous. Je cherche juste à savoir qui écrit tout ça ? Qui tire les ficelles ? Qui décide de ce qu'il  y a à écrire ou non ?

Et si, ce soir là, il n'y avait pas eu de ticket de caisse ? Si ce soir là j'avais dis non à Plum ? Qui a décidé que ça se passerait comme ça ? Le point de départ. Qui ? Non Harold Crick ne m'a pas traumatisé. Harold Crick m'a fait comprendre que j'étais. Harold Crick semble avoir influencé une chose en moi. Elle. Je ne veux pas que le livre se termine. Je veux une histoire nouvelle à chaque pages qu'on tourne ensemble.

Je veux fumer des joints sous un velux étoilé, je veux boire 18 canettes de Coca en deux jours avec elle. Je veux tailler son sourire avec la pointe de mon index et voir ses yeux suivre la trajectoire de ses lèvres. Harold Crick m'a donné envie de tout ça. De ne pas vivre ma vie comme il faut la vivre, mais plutôt comme j'ai envie de la vivre. De saisir chaque opportunité sans rien gâcher. Je ne veux plus gâcher, je ne veux plus d'avant. Je ne suis pas un autre "homme". Je ne change pas. Je vois autrement. Je prends plaisir à t'écouter t'endormir. Je prends plaisir à me serrer contre toi, le lundi matin dans le wagon du métro.

Harold Crick ne m'a pas rendu amoureux. Harold Crick m'a ouvert un oeil. Il m'a fait comprendre que le passé. Aussi blessant qu'il soit est le passé. Qu'il ne faut en vouloir à personne. Que ce qui compte aujourd'hui c'est le présent. Ce qu'il y a de bien dans le présent c'est que nous sommes les seuls à nous y conduire. Pas de futur ? et alors ?  Nous avons un présent. Ton monde que je ne comprends pas vraiment, celui qui mène la barque dans ta caboche. Tout ceci me plaît. Je ne veux plus copier, faire semblant. Ton monde fait parti de toi. Je le prends avec toi. Et ne m'y opposerai pas.

Noël approche à grand pas. Et je ne suis même pas triste. Noël, je le ferai seul, comme chaque année et je m'en fous. Noël peut crever, la roue continue de terrer. Burry Christmas ? Non. Non car je crois que cette fête rend heureux. Des fois. J'ai envie de mettre mon poing dans la gueule à Virgile, pour ce qu'il est. Je suis heureux de vouloir détruire la gueule que je lui imagine. C'est la première fois que je veux péter la gueule à un héros de livre. J'ai le sourire qui me nargue. Alors je me laisse aller.

Et puis quand je me réveille. Je sens ton souffle au creux de mon épaule. Et pour moi c'est déja Hanoëlle. Un jour j'aimerai savoir qui tu as été. Un jour, ou une nuit. Vu qu'en ce moment.

27 novembre 2007

Am I this bad ? Voilà. J'ai écris une fois de

Am I this bad ?

Voilà. J'ai écris une fois de plus sans pour autant. Oublions le fait que j'ai un passé depuis 22 ans. Oublions le fait qu'il me faut un avenir. Même si.

Je n'oublie pas que je ne suis pas le héros. Je suis.

A toi d'me le dire. Je ne suis pas grand chose. Tu es la première à y avoir donné un autre sens. Un sens qui va dans le tiens. Un sens sans interdit. Ou presque. Oui Plum.

Je n'excuse pas ce que j'ai dis. Je souhaite simplement mettre un terme aux réfléxions amicales qui ne méritent pas d'être. Tu es. C'est grâce à toi si. Ne va pas croire que j'aurai pu écrire ceci sur un quelconque skyblog vantant les mérites de mes amis les plus chers.

Ta gueule, même de travers. Tope là. Sa gueule, à l'endroit depuis peu. Tope là aussi. Ma gueule, cassée. Va bien. Ne grogne pas petit capitaine. Il y a des choses qui se disent sans pour autant avoir de la ranpique. Encoeur que.

Tu es l'amie de pain dans la gueule, le poids Plum des pensées.

Je met un terme à l'éloge de mon amie.

J'ai fini de lire Neverwhere. C'est bizarre comme les vies des personnages peuvent vous marquer. Pour un court instant. Même si vous mettez du temps à lire un livre. Je veux dire. Ce sont les livres qui font l'Histoire. Les pensées naissent de là. Je crois que oui. J'aime lire. Je sais que oui. Je veux lire. Même si Chasseur mourra encore, même si le marquis de Carabas se fait trancher la gorge à chaque. Même si Croup et Vandemar ont une mort lamentable.

J'veux une grosse couette, un verre de lait. J'veux des films et trouver la motivation de les regarder. Je veux pouvoir faire quelque chose de mes mains, de bien pour une fois. Je veux un don. J'aimerai un don. Envoyez vos dons.

Tu m'passes les cookies ? On est lundi, le saule pleureur est là. Tu m'en veux pas d'te retrouver à chaque fois dans ce que j'écris ? J'ai du mal à faire sans, surtout quand t'es pas là. J'ai l'égo dans les. Duplo.

Et si la nuit n'était pas blanche pour toi, pour une fois ? Y'en à qui se demande à quoi ça sert que je continue de croire en eux. Je veux juste répondre que c'est tout ce que j'ai. Des gens en qui croire et qui m'font rêver. Ne vous effacez pas.

Do not erase, just rewind.

one way or the other,
I'm a bad brother,
word to the mother fucker

it's such a sin,
born bad,
it's such a sin,
I guess I'm born naturally born bad


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26 novembre 2007

Suzie-les-petits-fours. Ca sonne bien comme


R_leur

Suzie-les-petits-fours. Ca sonne bien comme membre de gang ? Tu crois que c'est moi qui t'ai fais choir ? Petite crapule, t'es tombée du ciel. Aurai-je du te ramener là-haut et t'y laisser, ou ai-je bien fais de te prendre sous mon épaule ?

Que nous reproche-t-on ? d'être heureux. A deux ? D'être deux ? Je n'y comprends rien. Les gens qui souhaite ton bonheur sont si égoïstes quand il ne s'agit pas d'un bonheur partagé avec eux. Je suis égoïste. Mais je suis content de voir mes amis heureux. Dois-je faire la gueule parce que certains d'entre nous parcourent 200km en train et que 60km de bus fait beaucoup trop ?

La réponse est non. Il est beaucoup plus facile de dire que je n'ai pas envie. Plutôt que de proposer à venir aussi. Les reproches me sonnent les cloches, heurtent ma caboche et sentent. Mauvais. Ouais j'avais raison. Y'a que dans la merde qu'on se ré/unit.

C'est chiant aussi de voir des envers de décor. De voir des héros redescendre dans mon estime. Je n'ai pas la plume habile, j'écris faux. J'arrive à peine à retranscrire ce qu'il se passe aux environs. Tout ce que je sais c'est que j'essaye de créer une façon de raconter sans forcément l'embellir mais pour dire vraiment ce qui est, vraiment ce que je ressens.

Je ne veux pas être faux. Raconter ce qui n'existe pas. Je ne veux pas décrire des situations qui sont interprétés différemment par les gens que j'apprécie. Je ne veux pas vous paraître banal pour autant. J'ai loupé un épisode, j'ai sauté quelques chapitres. J'ai. Ne me reproche pas de ne pas avoir mis de marque page.

Le faux inceste qui te met si mal à l'aise. Me raisonne dans la tête comme un mensonge à dos d'éponge. Nous sommes, tu es. Vous êtes, toi et lui comme moi et elle. Râle mais râle juste. Sans y mettre du faux. Sans. J'ai mal.

Il est minuit quarante et une. Il y a un fond de Coca Zéro sans bulle, a coté du siège passager de mon transporteur Volkswagen. J'ai passé un week end qui m'a fait sourire une fois de plus. Qui m'a permis de comprendre qui je veux être et avec qui je veux l'être. J'ai passé un week end à voir des amis qui n'en ont pas toujours été et qui pourtant se conduise en tant que tel. J'ai passé un week end à rire dans tes bras et sourire dans tes mains. Il est minuit quarante quatre et j'ai envie d'une Camel. Le temps passe vite que lorsque nous n'y faisons plus attention. Cracher à la gueule du temps, lui sourire au nez.

S'envoyer en l'air sans chapiteau au dessus de la tête, Microbe en deux fois. Spectacle gratuit. Pour tous. Même si vous n'en voulez pas.

20 novembre 2007

L'équipage nocturne et éphémère de cette nuit se

Tayo

L'équipage nocturne et éphémère de cette nuit se compose.

De Capitaine Plum, de notre galaxie. Pas comme l'autre dessin. Aux commandes, parce qu'à bord de son navire, peut jamais rien y'avoir de pire. Toujours prête à bougonner parce que le thé est. Tiède. La théière dans sa cabine de pilotage. Automatisation des pensées et hop. Elle contrôle sans hiérarchie, respectée de tous, de toutes, de toi, de moi. Coca des fois. Le temps moins.

L'amiral Petit Prince, le mirage miracle au chapeau formé de hauts sans les bas. Des étoiles dans les mains, dans les yeux, dans la langue et. Plus encore. Costumé, pour le meilleur comme pour les rires. Secondé par sa folie passagère, pas âgée pour un sous. Prêt à faire le grand saut avec l'élastique. Toc toc. Laissez le entrer.

Keeps, comme la chanson. Terre en vue, enfin ça dépendra de ce qu'elle a bu. Les phrases suréalistes, sur les lèvres. Toujours. La voix qui porte, les yeux qui se plissent. Bravant le feu, le froid et l'alcool. Même pas peur à ses cotés. Une alliée de choc. Une alliée chic. Trouveuse de fric. Bonnet sur la tête. Ouais. Keeps.

Microbe, pour se servir. Le joker ambulant. Un sourire en bullant. Mon coté pique sans poils qui piquent. Chavireuse de corps et de coeurs, des miens surtout. Conteuse d'histoires, soutenue par son lapin violet. Volent, vers le ciel. A la recherche d'un coin pour mieux nous observer. L'étoile du carton, sans poussière. Juste pour dormir et plus encore. On bloque une heure en fin d'semaine, tous les deux. Chiche. Oui et on a réussi.

Pilopp, la fumiste, fumigène sans gêne. L'heureuse élue des trois mats fins comme des oiseaux. Et cui. Cuite dans le sud, cuite en un week end. Oh ouais. La gueule colorée par ses mains, par ses soins. Fumisterie Pilopienne, l'inventeuse de potion. Qui réchauffe le paliptant. Qui pique aussi. Place toi sur le paquebot. Enfant de lune.

Tidji, le gros copain. Baptisé une fois de plus par le capitaine. Recueilli quand il le souhaite. Mon pote à la compote, un grand rond au potiron. Héhé. Copain d'Loubard ? Ouais, depuis l'école. Bilal.

Loubard, la moussaille exceptionnelle. L'intrus instruit par tous ces pirates précédemment cités. Venu de l'a cité de son paternel. A qui il doit l'accent, le rire ridé et le reste. L'as de pique piqué par Microbe. Bataille, égalité. Fraternité. Pour l'éternité ? chiche aussi.

Tous les soirs cet équipage rencontré par le biais d'une toile tissée par l'araignée virtuelle. Tous les soirs cet équipage vit dans son monde, chacun imagine le sien, chacun y rajoute du sien. Personne n'en est exclue pour peu que le rêve y soit une qualité. Disons "peuple de l'étoile" hormis Loubard qui s'place en entre deux. Faute de pas être grand, mais bien content de faire semblant de vieillir quand il s'agit de ramener de la thune.

J'échangerai rien, même pas une bouteille de coca remplissable à vie contre eux. Le peuple étoilé, le toit d'ma caboche fraichement fêlée. Ca vous tente ?

Démerdez vous.  Nous, on a choisi de rêver.

19 novembre 2007


Ailes


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18 novembre 2007

We are looking for "Loubard"J'suis sur

BATTRE



We are looking for "Loubard"

J'suis sur Panam depuis moins d'une semaine. Comprenez j'quitte terre tous les soirs depuis 5 jours. La faute à Panam ? Non. Puisque de toutes façons la circulation est quasi nulle intra capitalos j'me cogne la gueule contre ma gueule qui m'cogne. Et ça nous fait marrer, d'pas avoir la notion du temps.

Ne rien à faire à part. Vous savez ? Oui, vous savez. Et puis se rendre compte qu'au final il est 3h du matin. Et là à l'heure qu'il est le fait est de trouver une entité, de la représenter. D'en tirer des trucs positifs ou j'sais pas quoi. Les artistes ils se compliquent la vie des fois.

Faut dire aussi se creuser la tête après s'être mis la gueule au rouge hier soir, d'faire une mini bataille de sauce barbecue au Mc Do. Mélanger la vodka au Coca et puis. Voir les lumières des voitures dans tous les sens. Dans un paris de samedi soir que je ne connais pas vraiment. Les grands boulevards parsemés de toilettes publics hors service qui obligent à pisser contre un arbre. Rien d'bien glorieux hein ? Non et puis j'suis pas le genre à courrir après elle, ni à jouer à un jeu quelconque avec elle d'ailleurs.

Quoiqu'il en soit nous avons ramené Keeps chez elle, alors que c'était dur, vraiment de marcher. Et j'aime faire l'amicale des bourrés-virés-des-bars pour cause du "vous ternissez notre réputation". Burps. Ouais ok.

Tu vois hein j'te l'avais dis, y'a pas de pays pour les vauriens les poètes et les balladins, et vu qu'y'a pas d'pays, et qu'tu l'as voulu, t'as pris le mien. Et putain on est bien depuis. Malgré le froid, les gens cons dans le métro, le shopping au forum des Halles, et les choses qu'ont l'air un peu plus sèrieuse mais de n'importe quelle manière.

Nous sommes. Monsieur et Madame rien à battre. Rien à abbatre. Yeah !

14 novembre 2007

Guess who's back ? Forcément dit comme ça, ça a

_Guess_


Guess who's back ?

Forcément dit comme ça, ça a la classe mais très franchement y'a pas de quoi. Faut dire, l'épisode de l'exclusion de la case "utérus familial" a été chiant. Ca m'a permis aussi de voir qui étaient mes vrais potes. Et putain j'pensais pas que j'en avais autant. Comme quoi l'égocentrisme n'a pas qu'du bon.

Alors ouais la vadrouille commence par un concert du Peuple de l'herbe avec le peuple de l'étoile, forcément. J'y rencontre mon cousin, absent depuis trois ans dans le cercle familial. Tu sais quoi Titi ? Non. Bin j'ai gagné 4 millions au loto. C'est décidé, mon nouveau fantasme est de devenir beau, d'avoir des plans galères, d'vivre au chomedu pendant j'sais pas combien de temps et jouer au loto régulièrement. Qui dit mieux ?

Moi. J'dis mieux. J'partage mon camion avec Vérole, et j'fais l'Mariole sous son regard de crayon noir effacé depuis deux jours. On s'bastonne, on s'dit qu'tout ça c'est pas si grave, un peu comme dans la chanson vous savez. On mange des kebab même si on a pas les moyens, on va chercher des invendus sur le marché.

Je rencontre Plum et son ombre que j'aime bien à tout hasard, et elle. Elle me dit "j'te paye une bière Loubard". Putain ouais, mon amie, ma miette de petite soeur, wesh ma gueule en une phrase tu met de l'été en plein moi d'octobre. Et attention j'parle du vrai été.

Finalement, j'repasse par la case départ, je retourne chez moi parce que ma mère en peut plus et j'ai l'impression que "ma mère ne dort plus sans prendre ses cachetons". A cause de moi. Mais aussi elle avait qu'à pas me virer. Et voilà on est quitte, le petit fils de bourge/gauche-kaviar rentre chez lui, il y retrouve le luxe du plumard, de l'internet du chaud de la couette, de la joie d'un bain qu'il avait mis un peu d'côté pendant deux semaines. Sauf chez Tidji qui. Eh ça va gros t'inquiètes j'te sucerai pas en remerciement mais si t'inisistes. Merci.

Et là. Là j'suis de retour avec mon microbe, celui aux cheveux bleus. Et vivre dans un Paris mort, bloqué à cause des grèves, c'est marrant. Et puis j'écoute sa mère qui parle de choses qui donnent envie d'connaître, qui me donne une place qu'on m'a rarement donné. "L'ami de ma fille". Ca faisait longtemps qu'on m'avait pas considéré comme. Oh bordel donnez moi un violon, j'vous joue le vilain petit canard. Bref, la mère de Noaime fera partie des meilleurs maman du monde pour moi.

Dis toi là qui dessine dans mon carnet. Tu viens ? On s'enguirlande, en trichant chacun notre tour. J'raconterai des blagues pourries et toi tu t'marreras parce que t'es bon public et aussi on ira acheter du coca tous les soirs. On montera les barreaux de l'échelle en essayant d'pas se retrouver cul nu et on comptera les étoiles pendant qu'elles, elles compteront sur nous pour qu'on continue à parler d'elles.

Eh psst tu dors ? pour une fois c'est moi qui t'regarde. T'arrêtes pas, j'arrive. Sourires armés jusqu'aux oreilles, habillés de ta couette et du rêve plein les yeux. Te réveilles pas.

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